Elizabeth May parle de la nécessité d’un meilleur accès aux médecins alphabétisés à la maladie de Lyme et d’autres changements
Défenseur de Lyme, député, actuel chef du Parti vert du Canada.

Merci à tous ceux qui ont contribué à sensibiliser à la campagne d’impact mondial The Quiet Epidemic en partageant l’événement de CanLyme sur les réseaux sociaux, en regardant le documentaire, en faisant un don ou en participant à la table ronde en direct. Découvrez les faits saillants d’Elizabeth May, défenseure de la maladie de Lyme, députée et actuelle chef du Parti vert du Canada, lors de la table ronde en direct en ligne le 28 mai 2023.
Panel members
- Janet Sperling Entomologist, President, CanLyme
- Jim Wilson Past President and Founder, CanLyme
- Dr. Sarah Keating, Anatomic Pathologist, CanLyme Board Member
- Justin Wood Founder and CEO of Geneticks
- Elizabeth May MP, current Leader of the Green Party of Canada
- Q&A panel FAQ summary – The Quiet Epidemic
J’aimerais vous demander, en général, qu’est-ce qui vous amène au panel aujourd’hui? Qu’espérez-vous défendre, ou que défendez-vous activement dans le domaine de la maladie de Lyme?
Comme beaucoup d’entre vous, je suis frustré de ne pas avoir fait les changements que nous aurions dû faire malgré des preuves évidentes et des progrès ici et là. Ça ne répond pas aux attentes. Nous (le Canada) avons plus de médecins alphabétisés à la maladie de Lyme qu’avant, mais nous ne sommes pas là où nous devrions être.
Nous continuons de ne pas voir les progrès que nous voulions voir avec un meilleur accès à des médecins alphabétisés à la maladie de Lyme et une plus grande sensibilisation. Nous avons vu de l’argent circuler dans la recherche, mais il a surtout été dirigé vers ceux qui ne sont pas nécessairement sur la même longueur d’onde que ceux d’entre nous qui reconnaissent que nous ne semblons pas avoir la percée dont nous avons besoin…
Je ne me félicite pas d’avoir été adopté par la législation si ça ne change rien. Ça devait faire une plus grande différence dans la vie des personnes atteintes de Lyme, ça aurait dû faire une plus grande différence dans la sensibilisation et la prévention au traitement, et à identifier désespérément où on a besoin de recherche pour traiter ces personnes et pour tant de Canadiens qui vivent avec la maladie de Lyme chronique. Ce n’est pas facile à traiter quand ça devient persistant, chronique et long à la maladie de Lyme.
De façon anecdotique, Je vois que nous avons fait quelques progrès, mais dans l’ensemble ils sont totalement insuffisants et je continue de parler directement avec Jean-Yves Duclos, le ministre de la Santé, et nous avons fait quelques progrès sur le rapport qui a été présenté par le ministre de la Santé en réponse à l’Agence de la santé publique du Canada, mais il reste encore beaucoup à faire.
