Une autre jeune femme meurt au milieu de la confusion continue autour de la maladie de Lyme
Nous devons faire mieux.
Une autre histoire tragique émerge au Canada, soulignant la confusion continue dans ce pays autour du diagnostic et du traitement de la maladie de Lyme. Stéphanie Lavoie n’avait que 30 ans lorsqu’elle a choisi de mettre fin à sa douleur et à ses problèmes de santé dévastateurs en optant pour l’aide médicale à mourir.
Global news rapporte que Stephanie avait des antécédents de morsure de tique, et a reçu un diagnostic de la maladie de Lyme dans trois pays, mais pas au Canada.1 Sa santé s’est détériorée pendant un certain nombre d’années jusqu’à ce qu’elle se retrouve confinée à son lit, dans une douleur intense et incapable de manger.
Sa mort prématurée est un appel à l’action pour enquêter sur les obstacles qu’elle a rencontrés, et que beaucoup d’autres font face, au milieu de la confusion entourant le diagnostic et le traitement de la maladie de Lyme. Nous ne connaissons pas les détails des problèmes de santé de Stéphanie, mais il est clair que nous devons nous attaquer à ce problème maintenant. Nous le devons à elle et à sa famille, ainsi qu’à d’autres personnes qui passent entre les mailles du filet de notre système de santé.
Footnotes
- « Une femme souffrant d’une douleur « ingérable » de la maladie de Lyme choisit de mourir. Elle n’a pas toujours été crue » par Kalina Laframboise, Global News, consulté le 7 juin 2024